Je pourrais sans doute me laisser aller,
A la fureur de tes yeux m'abandonner,
Affronter le flanc de tes reins,
Puis te troubler du bout de mes seins,
Oser te crier tout ces mots,
Qui dès lors perdrait leur sens,
Devenant ainsi le sombre tombeau,
D'un amour sans foi ni violence,
Simplement au loin tourner le dos,
Aux attentes baignées de lourd sanglots,
Prier chaque jours à l'aurore naissante,
Pour d'enfin oublier, notre traque ardente.
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Style : Poème | Par cha | Voir tous ses textes | Visite : 368
Coup de cœur : 11 / Technique : 11
Commentaires :
pseudo : féfée
Beau et sauvage !! cdc
pseudo : lutece
J'ai aimé à te lire! tout simplement beau! Merci du partage! CDC
pseudo : Iloa
Oui, tout simplement beau. Merci.
pseudo : lucy-sky
Magnifique!!!!!!
pseudo : w
Vraiment un joli poème où l'amour se meurt dans l'éloignement et l'oubli... volontaire ? En tout cas, une oeuvre très touchante qui mérite un CDC !
pseudo : damona morrigan
J'aime beaucoup ton texte, bravo et merci à toi. CDC
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