Le corps s'étend, l'allure délicate,
Le coeur s'éprend à son oeil d'avocate,
Avocate du diable, briseuse de chair,
Chaque secondes murmure les prières,
Ces prières, où l'on ne croit plus,
Où souvent se perd la simple vertu,
La vertu qui soudain n'as plus définition,
Lorsque s'y mêle trouble et passion,
Sous son visage reflet de porcelaine,
Ma douce au regard un brin bohème,
Tend la main à mon corps dégarni,
Et vainement, sans regrets me souris.
La lumière s'efface à son ciel angélique,
Lourd est le poids ses jeux lubriques,
L'odeur de son corps reviens a ma porté,
Je tremble encore de sa délicate volupté,
Mais il y as tant de tristesse dans ce regard,
Sentiments oubliés me laissant choir,
Alors je viole son reflet d'effroi,
Ma muse m'amuse une dernière foi.
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Style : Poème | Par cha | Voir tous ses textes | Visite : 278
Coup de cœur : 8 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : Iloa
Bravo ! Un poème très touchant.
pseudo : w
Ta muse de misère s'amuse à miser sur ton innocence visiblement. Mais qu'il est difficile de ne pas se laisser aller aux sentiments lorsque l'on se croit aimé par l'autre. Il faut prendre garde, car le chemin de l'amour est pavé de manipulations...
pseudo : PHIL
vraiment du tout bon!!!!!du talent et de l'émotion
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