Sous cette moue expressivement fermée
Mâchoires et lèvres serrées
J’entrevois votre agressivité
C’est celle qui est en moi aussi
Que je libère à coups de rire délétère
Amour venez vers moi que j’embrasse vos paupières délicates
Je connais votre mal, je peux le soigner
Je suis furieuse contre moi de vous gêner
Car je sais que vous aimez la tranquillité
Mais bientôt inchallah vous vous lâcherez
Vos jolis yeux se plisseront encore sous le soleil éclatant
Et votre peau de fée enchantera à nouveau
Vous pouvez croire ce que vous voudrez
Moi je ne changerai pas d’avis, je vous aime pour toute la vie
Je suis arrivée au point où je deviens folle de vous savoir si éloigné
Je viens de comprendre qu’il ne suffit pas de vous plaire ou de vous admirer
Il faut vous attendre, attendre que vous décidiez de m’aimer pour de vrai
Moi je ne veux personne d’autre que vous
Que vous pour me toucher, pour caresser mes cheveux
Et pour me parler un p'tit peu
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Style : Poème | Par batoule | Voir tous ses textes | Visite : 417
Coup de cœur : 7 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : PHIL
s'il ne comprends pas, faut-il qu'il soit si indifférent??? CDC
pseudo : batoule
Quel avis pertinent, c'est toujours un plaisir de recevoir un com de toi, mais pour l'indifférence je crois que c'est pour se protéger, éviter de souffrir en aimant, peut-être est-ce un bon choix, qui sait?comment juger, c'est le libre-arbitre Amitiés et à bientôt
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