La larme qui coule
Est chaude
Elle s'est échappée
De ce coeur
Rouge comme le sang
Sur la pâleur de sa joue
Elle descend
Glisse sur ses lèvres
Brûlantes de fièvre
Douleur de ne plus comprendre ?
Les larmes ne font pas toujours
Partie du bonheur
Elles sont le signe de
Chagrins sans fin
Seule, elle continuera
Son chemin
Parfois c'est mieux ainsi
Que de souffrir ou
ëtre à leur merci
Ils décident :
De vos sourires, de vos pleurs
De parler, de se taire
De vos gaités, de vos tristesses
De faire la pluie
Le beau temps
Au gré de leurs humeurs
De leurs tempéraments
Ils sont parfois vils
Ou méchants
Arrière, arrière princes dit :
Charmants.
Kathleen Vrindts
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Style : Poème | Par kathleen vrindts | Voir tous ses textes | Visite : 471
Coup de cœur : 9 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : lutece
...je la suis bien cette larme qui coule et s'écoule jusqu'a mourir! CDC
pseudo : sylvaine
...complètement d'accord avec ce joli poème plein de vérité!Cdc
pseudo : Cécile Césaire-Lanoix
Belle intensité qui se dégage de ce magnifique poème. Bravo, et merci pour ce grand moment d'émotion. Cdc. Kathleen, je te remercie très chaleureusement de ta visite, et de ton gentil commentaire. ;-)
pseudo : w
CDC Il existe de vraies larmes et des fausses. Les miennes sont toujours vraies
pseudo : Ursu
C'est très bien écrit,féicitations! C'est tellement vrai... Il ne faut pas donner ce pouvoir aux gens de décider de ton humeur et de ce que tu ressens!
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