La pluie, douce et fine, s'écoule lentement
Elle éclabousse la ville en d'interminables
Clapotis ; Des flaques reflétaient longuement ...
Expire des pensées sophistes, ineffables
Le philosophe qui touche les fausses idées,
Folles qui tournoient tel un bouillon d'aliments
Périmés, par ses propres moyens cultivés.
En discussion, toi, l'écran du clavier devant
Tu poses les mots avec l'envie qui me tue
Tu combles l'absent et la solitude
Qui te ronge, te blesse ... comme par habitude
A se demander ton quotidien ; Qui es-tu ?
Inconnu au masque qui, avec gentillesse,
M'avoua tendrement son dit amour. Tristesse !
Mignardise
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Style : Poème | Par Mignardise 974 | Voir tous ses textes | Visite : 194
Coup de cœur : 7 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : Man Moon
J'aime ta facon de voir les philosophes... Mais les poètes ne sont-ils pas eux même parfois philosophes ? Cdc
pseudo : lutece
..c'est vrai que les mots comblent souvent la solitude! Merci pour ce beau teste CDC
pseudo : Iloa
Petite question phlosophique à la Iloa..." Est-ce le ciel qui pleure ou nos yeux qui pleuvent "? CDC
pseudo : dees_d_amoure
...cdc
pseudo : Mignardise 974
Merci à tous. Man Moon, tu as raison. Les poètes expriment parfois leur philosophie à travers leurs chants. Lloa, je considère que les deux propositions sont vraies.
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