Samedi 1 mai 2010

La collecte de sang

La santé est composante fondamentale sur laquelle s’appuie tout civilisationnisme pour converger vers le progrès et le confort.

C’est à travers la conservation des valeurs transcendantales que l’humanité puisse protéger son homogénéité et son équilibre afin déviter le disfonctionnement de notre société.

Plus une nation s’enfonce dans son histoire et ses histoires, plus elle émerge vers la surface, et plus elle se détache de son histoire et de ses valeurs, plus elle s’enfonce dans les ténèbres.

L’une des valeurs qui composent l’âme humaine est fraternité, qui se dégénère en humanisme, en amour pour autrui, en tolérance, en générosité.

Sauver une vie humaine par transfusion sanguine, c’est l’acte le plus bénis par la foi, et le plus transcendantal.

Offrir son sang pour faire survivre une autre personne, c’est la  valeur suprême qui matérialise la fraternité entre les deux êtres par le liquide rouge.

La santé est la fonction vitale qui permet à l’homme de vivre harmonieusement à l’intérieur de cette cohérence et ce synchronisme, qui continuent à gouverner son corps depuis la nuit des temps.

L’école des donneurs de sang ou donneurs d’organes, est surtout alimentée par l’énergie spirituelle que diffuse la foi.

La compréhension de notre rôle dans cette existence, est indispensable pour assumer convenablement notre responsabilité ici bas.

L’éducation commence à bas âge pour installer chez l’enfant la notion de la fraternité réversible. Les enseignants peuvent aussi apporter leur contribution dans le fondement de la pensée humaniste, les religions soutiennent très fort un tel engagement pour les  valeurs.

Mettre son sang à disposition d’autrui, équivaut mille prières, lui offrir votre sang, c’est l’inscrire sur votre carnet de famille, tout en lui procurant la paix, la confiance, la protection, l’intégration et le bonheur.

En conclusion, investir dans la santé, c’est investir dans le bonheur, le progrès, l’équilibre, la sécurité, la science, la science, l’humanisme, la morale, la civilisation, l’instruction…  La bonne santé évite à l’état les grandes dépenses et épargne la société les maladies transmissibles et les pathologies virales, susceptibles de détruire la société.