Je ne sais pas si j’aime encore les hommes
Mais vous, je sais que je vous aime encore
Petit Hadj de mon cœur
Hier, dans la voiture, je voulais vous avoir
Vous avoir pour moi toute seule
C’est si égoïste, mais tellement jouïssif
Je m’imaginais vous faire votre appartement
Dans une villa conçue à l’orientale
Avec une cour intérieure, un superbe hammam
Et de la dalle de sol, comme les filles aiment là-bas
Je souriais en pensant que vous seriez comme un oiseau spécial
Qu’on enferme dans une cage impériale
Mais qui ne se sent pas chez lui
Car aussi belle que soit l’habitation
Ca reste toujours une cage au fond
Et vous, je sais que vous resterez toujours sauvage
Donc je m’achemine vers mon chez-moi temporaire
En rêvant à vous, à vous et moi
Sachant que nous serons toujours séparés
Et j’avoue que cela me fait bien délirer…
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par batoule | Voir tous ses textes | Visite : 357
Coup de cœur : 9 / Technique : 5
Commentaires :
pseudo : PHIL
c'était portant un fort joli programme, mais il y a des être épris de liberté, amitié CDC
pseudo : féfée
Délicatesse des sentiments et respect. J'ai adoré ! CDC
pseudo : batoule
On ne peut rien faire contre soi-même, ni face au libre-arbitre d'ailleurs,la première des libertés, la liberté suprême, c'est peut-être celle d'exister d'une manière qui nous est propre Merci Phil et féfée, ravie que vous aimiez ce texte
pseudo : Mignardise 974
mon esprit a dérivé sur ton poème au style et à la volonté libre, si je puis dire. CDC !!
pseudo : malone
beau poème vraiment bravo batoule!! CDC "hadja"! sourire...
pseudo : batoule
Mignardise 974 et malone, merci à vous d'être passés, et re-sourire, au plaizir malone !
Nombre de visites : 240021