Fille de joie , sourie , arpente Paris.
Le talon aiguille , récolte la vie .
Et la peur aussi...
2 mois en moi , prison cellulaire , je crève alourdi , le coeur attaché ...
Tissant sur le fil du temps qui trépasse !
Un enfant d'l'amour surgit d'une passe .
Combien pour une âme , payé dans l'impasse ?
Autant de chagrins , giclé sur la mort .
Combien pour le charme , sans laisser de traçes ?
Autant de festins , rivé sur le port .
Fille de joie , sourie , arpente Paris .
Le talon aiguille , récolte la vie .
Et le sang aussi ...
De moi en mois , il ne reste rien , des pas qui résonnent à l'anneau masqué ...
Et un vieux dégoût pour l'humanité !
Aux enfants d'l'amour que l'on as sauvé .
Combien pour comme in !
Combien pour ? comme d'ab !
Pourvu que sa crache , sans avoir la casse ...
Fille de joie , sourie , arpente Paris .
Le talon aiguille , récolte la vie .
Et la mort aussi...
Mais un jours viendra !
Où la vie s'ras loi !
Et le monde , alors ne sera plus Roi ...
En rêvant , l'amour !
Un peu moins pisseu ...
Fille de joie , sourie , arpente la nuit .
Dans un coin d'Paris ...
Le cul en lambeaux !
L'âme au Paradis ...
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Style : Poème | Par Loula | Voir tous ses textes | Visite : 592
Coup de cœur : 8 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : PHIL
aucun problème avec ces femmes, je les respecte avant tout, il y a des chemins dont on ne sais où ils vont mener
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