Tu m'as dit un jour, que ne pensai plus à moi mais à une autre. Que tu ne souriais plus quand tu me voyais, que mon parfum ne te faisait plus rien. Et que peut être tu avais oublié ton amour pour moi. Que c'était fini ... juste fini.

Et moi, je suis restée là, j'ai attendu que tu face ou dise quelque chose. Mais tu n'as rien fait, tu n'as rien dis. Tu es juste parti, et mon cœur c'est mi à brûler, comme on brûle un bout de bois, il c'est consumé, transformé en cendres. En cendres de nous, de notre histoire, de notre amour.

Et puis un autre jour, à une autre heure, dans un autre endroit, tu m'as dis que ca n'était pas ses cheveux que tu voyais, mais les miens. Que ca n'était pas la couleur de ses yeux que tu aimais, mais celle des miens. Que son rire ne résonnait pas comme le mien a tes oreilles. Que t'as peau ne frissonnai pas au contacte de la sienne, et que la mienne te manquai. Que son parfum ne te faisait pas voyager comme le mien. Et que ca n'était pas son prénom que tu criais, quand dans tes cauchemars tu cherchais du réconfort. Puis finalement, tu as dis que tu ne m'avais pas oublié, seulement effacé de ta mémoire, mais que la mémoire c'est comme un boume rang, sa revient en pleine face et ça fait mal. Tu m'as dis que tu étais en manque de moi, que mon souffle, ma voie, mon cœur qui bat, que tout ça n'était qu'à toi.

Et tu es restée là, tu a attendu que je face ou dise quelque chose. Mais je n'ai rien fait, je n'ai rien dis. Tous ces mots, tu venais de dire tous ces mots dont j'avais temps rêvée.

Et ...

Mes larmes se sont misent a couler, mon âme c'est mise à saigner, mais mon cœur, lui ... avait déjà brûlé.