Talons aiguille et bas noir,
C'est parti pour le grand soir,
Plus rien ne se cache au fond de moi,
Sur ce jazz je jouerai la diva,

Etta me souffle un air passionnant,
Elle m'emporte au fin fond des bars,
Ou les streap tease ne sont avare,
Je vais danser a te rendre violent,

Ma jupe largement trop courte t'invite,
A chaque secondes tes mains envieuse évite,
De frôler le diable qui sommeille en moi,
Oh baby, ce soir tu es le plus chanceux des rois,

Sa voie incessante me file la fièvre,
Comme si l'ardeur n'avait plus de trêve,
De mes lèvres s'échappe un filet de fumée,
A l'heure ou ton regard ne sait se détourner,

Maintenant que tu es à ma merci,
Je joue sur les mots, choisi les gestes,
La passion s'empare de ta sombre vie,
Pourtant je sais que tu me déteste...

Etta nous rapproche encore un peu,
Les enfers ont déclenché le feu,
Sur ton corps accolé à mes hanches,
Et ces notes qui n'en finissent plus,
Tes mains ondulantes sur mes hanches,
Baby, je vais t'éblouir à t'en faire perdre la vue...