Chacun fut un jour un enfants
Qui souriait de toutes ses dents
Ne se doutant pas un instants
Que son voisin fut un loup méchants
Quel déception de grandir
De voir de plus haut le monde ainsi s'appauvrir
La terre est bien vaste pour un enfant
Rêve chimérique d'aventure au grès des vents
A bord d'un fier galion d'officier
Ou encore d'un frêle mais vaillant destrier
La liberté serait elle une idée
Que l'on oublie lorsque les des sont jetés
Je décide de ne pas effacer
le souvenir de ma liberté
Laissant devant moi le peuple se railler
Je percerait un jour cette obscurité
Sortant ainsi de cette prison
Pour jouir de la vie simple et belle
Pour écouter des oiseau chaque sons
Afin de trouver le goût du miel
Et de ne jamais manquer
Un seul coucher de soleil
Que moi seul observerait
Du haut d'un rocher
Alors prendra réellement le sens du mot oublier
Se mot qu'aucun ne saurait foulée
Le mot qu'il ne faut jamais immoler
J'ai nommé le mot liberté
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Style : Poème | Par cesarius | Voir tous ses textes | Visite : 504
Coup de cœur : 8 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : PHIL
J'aime beaucoup en particulier le dernier quatrain, j'aime aussi surtout le mot LIBERTE
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