Pas une nouvelle,
Pas un mot.
Pas de prequel,
Tout est faux.
Déjà tu m’oublis,
Et mon odeur n’a pas quitté ton lit.
Déjà tu m’efface,
De mon corps, il ne reste aucune trace.
Tu m’évites, tu te caches.
Un peu plus vite, petit lâche.
Un oubli et ton monde s’écroule,
Un oubli c’est mon sang qui coule.
Tu le savais, mais ne voulais pas voir,
Que la maladie était posée dans mon regard.
Tu paniques, tu t’égares,
Je jubile de ton désespoir.
Pour le reste du monde, je reste simplement moi,
Alors que pour toi, je porte désormais le nom de SIDA.
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Style : Poème | Par Luna-lune | Voir tous ses textes | Visite : 526
Coup de cœur : 8 / Technique : 5
Commentaires :
pseudo : iloa
Tu jubiles ?
pseudo : Karoloth
Oups ! Sortez couvert ! cdc.
pseudo : PHIL
il est toujours aussi présent, quoique l'on pense
pseudo : milania caetano
ton poeme ma enormemen toucher...jen ai u la larme o yeu de te lire...c'est bien vrai ce que tu raconte et c'est tres joliment dit bravo a vous c'est super bo
pseudo : Luna-lune
Merci merci : ) Je jubile bah je voulais dire je suis heureuse que tu sois désespéré !!
pseudo : Iloa
J'avais compris...et ça me gène.
pseudo : Luna-lune
Ha, pourquoi ?
pseudo : Iloa
Parce qu'on ne ne peut être heureuse du désespoir d'un autre...il me semble.
pseudo : Luna-lune
Et bien je suis d'accord. Sauf que quand on est au bout du rouleau, et que la personne qui vous a fais beaucoup de mal souffre. je pense que si, même si c'est mal, je pense qu'on peut. Après ce n'est qu'un texte.: )
pseudo : nassur
le malheur desuns fai le bonheur des autres;mais ce poéme et tres emouvant =) A+
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