Est-ce que tu t’allongeras encore près de moi
Pour que je te caresse à volonté
Toi mon enfant, ma petite âme pure
Je regarde tes mains, elles sont fines
Les veines s’y expriment librement
Leur douceur est exquise
La peau est féminine et irisée
Lisse et ravissante dans cette bruneur ensoleillée
Tu me fais mal d’être si parfait
Et voilà que le désir survient
Il monte de mon ventre à mes reins
Il soulève mon thorax
Je respire plus fort
Je respire l’amour et j’expire le désir
Je respire la douceur et j’expire la volupté
Je respire intensément et j’expire en caresses
Et j’aime ton corps, tout ton être
Tu es mon enfant, mon frère, mon confident
J’aime t’aimer
Car tu es l’Amour-même
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Style : Poème | Par batoule | Voir tous ses textes | Visite : 633
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