Je vois, je vois au loin,
De mon corp de plomb tendu,
La noirceur de type malin,
Saignant violemment ma vue.
J'entends, j'entends au loin,
Par le vide de mon âme distante,
Un brouhaha terriblement humain,
Dont les sons violent mes tempes.
J'avance, j'avance vers eux,
Tel la douce colombe ne craint,
L'approche du monde ténébreux,
Portant sur elle le symbole du bien.
Chaque jours me rapproche de ce duel,
Nombreux doutes emplissent mes prunelles,
Devenues dès lors aveugles de bons sens,
Où bien trop avares pour l'insouciance...
Une pensée bien trop complexe...
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Style : Poème | Par cha | Voir tous ses textes | Visite : 246
Coup de cœur : 11 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : PHIL
sombre et inquiètant à souhait, j'aime CDC
pseudo : Mignardise 974
l'obscurité, tout en poésie, alors CDC
pseudo : malone
hé oui "l'obscurité tout en poésie" il a raison le collègue et moi je ne peux qu'applaudir! au plaizir demoizelle...
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