l'auto flagellation

se fustiger de maux, qui viennent souvent du passé,et qui pourraient en quelques mots, être apaisés diminués, mais par manque de communication ces maux sont amplifiés!!!

alors ne plus dire, ne plus croire, par crainte de d'être interpréter!!!

En mal ou en bien ,manque de réalisme de réalité!!!

Rester dans son coin , faire le point, son bilan, préférer de loin observer, constater, soit que l'on se trompe, soit qu'on est dans l'vrai.

Première base de l'auto flagellation:

l'interprétation qui offre souvent déception

se fendre de douleur, quand on place son cœur sa confiance, ses joies, ses envies dans les mains d'un être qui les détruit.

Désarroi, se promettre que ça ne se reproduira pas.

évité toute confiance partir en errance, et avec éloquence,

ne mettre que quelque touches de son vrai.

Deuxième phase de l'auto flagellation :

la perte de confiance qui offre le replis sur soi, et nous renvois à la première base.

Se condamner, s'interdire le bonheur partagé, quand on nous ouvre une porte vite fait la refermée, tout briser avant même de construire. En amour en amitié en relationnel, rester sur le peu de réserve ,que l'on s'est constitué, et le temps en défaveur ne plus trouver le courage de se lancer. Se contenter, du peu que l'on a ou plutôt du peu que l'on crois avoir plutôt que de retenter et plus tard retomber dans le désespoir

on y arrive!!! plus d'espoir, sans confiance et tellement déçu des mauvaises interprétations que l'on as fait de nous, on se tait, se méfie,s'interdit,on se cache derrière une image forte qui cache toute nos émotions et nos faiblesses, on deviens l'ami de tous ,on prend un engagement longue durée avec la solitude.

On se flagelle on ne s'aime pas d'être devenu ainsi, nous qui nous plaignons du manque de communication, qui placions notre confiance sincèrement et naturellement, on se vêtis d'un costume noir,on apparaît en incompris. On reproduis tout ce qui nous a détruit.

Certains dise que c'est dommage, que l'on a tout pour devenir sage, lise en nous nous parle, nous font confiance ,essai même de panser nos blessures, mais l'amertume a pris pas elle est si présente qu'en l'autre on ne crois pas . C'est rageant on aimerai tant ne plus se laisser pourrir, alors on se retire, se cachant derrière nos maux et le pire c'est que l'on s'en crée un nouveau.

RO***