Je me meurs de l'absence de tes mains
Caressantes , lorsque sans façons ,
Elles parcourent les courbes élues
De ta prison.
Combien de fois tes bras ont osé me réveiller
Glissants de volupté , ils allaient
Vers de neuves rencontres , explorer...
Les doux pinceaux me parlent encore
Amoureuse , je m'endors
Peinte par tes yeux.
Mais demain sera maudit
Et ton visage franc , chassé par les reves
Ne sera plus qu'un tableau blanc
Effacé par de trop longues peines.
Durs seront les jours à venir,
Les jours innocents.
Mon Ange , je suis dans le vide
Je tombe , c'est le néant.
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Style : Poème | Par La muse Ment | Voir tous ses textes | Visite : 347
Coup de cœur : 10 / Technique : 5
Commentaires :
pseudo : BAMBE
C'est beau, fichtrement tristement beau. CDC
pseudo : La muse Ment
Oui c sur .. pas très gai tout ça !
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