Muse, souffle inspirateur des poètes
Je ne puis me résoudre à ne point te célébrer
Si Dieu, dans son infinie bonté,
Ne saurait m'absoudre de mes péchés,
Et pardonner mon inconduite
Puisse, toi à qui je rends grâce,
M'accorder quelque bienfait
M'insuffler le génie créateur
Qui triomphe de ce qui n'est
Ainsi, je n'en aurais que plus de reconnaissance
A ton égard car vainqueur
De la vacuité
Tu sauras, j'en suis sûre,
Faire germer en moi l'ombre d'une idée
Faire pousser des fruits à l'Arbre
Faire qu'ils deviennent mûrs
Afin que, fier, l'Arbre reprend l'envie
De croître, d'étendre ces longues branches
Recouvertes d'un long manteau vert
Mignardise
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Style : Poème | Par Mignardise 974 | Voir tous ses textes | Visite : 445
Coup de cœur : 10 / Technique : 5
Commentaires :
pseudo : PHIL
je souhaite que tes appels trouvent une réponse positive, notre muse est parfois maligne et n'est pas Dante qui s'y tente, amicalement
pseudo : Mignardise 974
j'ai eu ma réponse et elle a été à la hauteur de mes espérances // J'ai eu d'elle l'inspiration que j'espérais tant
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