Je me perds dans le vaste désert de ton âme, ou je sais que ton coeur souffre de solitude.
Les dunes sinueuses érigées par le sable, t'empêche de gravir cette Lypémanie.
Et quand cesse le vent des pleurs de ton être, Et que le soleil noir laisse place aux jours de pluies.
Tu regarde ta vie qui ne veut plus renaître, et accueille à nouveau une profonde amertume.
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Style : Poème | Par Abyssale | Voir tous ses textes | Visite : 2017
Coup de cœur : 13 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : monalisa
GRANDIOSE ABYSSALE. J'ADORE.
pseudo : ficelle
ça fait froid dans le dos...C'est magistral !
pseudo : phifon
taggle
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