Mon ami Simon Vallieres encore dans une galere
en tout cas ,tu fais pitié, drainé par ta bien aimée
C'est lorsque ces choses attroces arrivent que ca se corce
Il est temps que tu mettes ta peau d'écorce et je ten donnerai la force.
Je te vois tout bleu et malheureux étouffé par celle que tu as tant protégé.
Je comprends que tu souffres mais ne tombe pas dans le gouffre.
Il faut que tu guérisse de cette maladie qui ronge ta vie
Je te vois qui glisse, je ne veux point que tu féblisses.
La ligne du temps ne fit que néant c'est plus qu'insultant c'est démoralisant.
Je ne suis qu'un troubadour chantant son discours pour dénoncer ce triste amour.
Sur ce je m'en vais, mais avant n'oublie pas que tes plaies ne resteront pas a jamais
tel un oiseau migrateur s'en va vers l'équateur dans un moment de froideur.
Tu me considère tel le meilleur et je serai ton guérisseur.
Maxime Cuillerier
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Style : Poème | Par maxpire | Voir tous ses textes | Visite : 539
Coup de cœur : 9 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : nani
Superbement bien écrit...
pseudo : Maxpire
merci
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