les portes de l'enfer se sont ouvertes.

Laissant entrer un flot de lumière.

Au centre de cet halo trône cerbère.

Dernier obstacle voulant notre perte.

Sombre écume des désirs

Sous l'emprise des démons

Reflétant l'abjecte désolation

D'un départ loin de cet empire

Dire adieux aux soufrières.

L'odeur âpre de l'acide brulant.

revenir dans le monde des vivants.

La volonté comme seule prière.

La Toscane complètement calciner

N'aura pour seul effet que les rires

Crucifier les mots et ne plus souffrir

De cet amour à l'odeur du fumier.

Les armes aux yeux.

Crucifier les dieux devenus monstres.

Pour atteindre un dernier astre.

Restera leurs larmes pour tout aveux.

nous tous simplement...