La nuit peu à peu engloutit la ville
Et soudain, tout semble plus facile
Ronde come une femme féconde
La lune fait frémir les ondes
Plus loin, un ballet de lucioles
T'entraîne dans sa course folle
Ils te montrent le chemin
T'emmènent vers ton destin
Un vent des plus doux
T'effleure le visage
C'est l'amant le plus fou
Mais aussi le plus sage
Ton rêve t'ammène vers un cercle de pierres
C'est la fin du sabbat des sorcières
Et déjà tu t'éloigne
Un croissant de lune t'accompagne
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Style : Poème | Par lutece | Voir tous ses textes | Visite : 304
Coup de cœur : 9 / Technique : 5
Commentaires :
pseudo : PHIL
perso, j'aime la nuit, j'y ressent un plus de liberté et de mystère et ton poème retranscris bien ces sentiments cdc
pseudo : féfée
Il ne manque plus que le hululement de la chouette, et on y est ! CDC
pseudo : café rue et suis
J'aime. CDC
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