Dans une autre Babylone
Tu apaisais des juifs les pleurs
Et quand au loin l'orage tonne
Tu calmes mes frayeurs
Tu es si frêle à l'automne
Quand ta chevelure se meurt
Et au printemps tu rayonnes
De ces reflets si chers à mon coeur
Tes racines sont comme celles des hommes
Elles se perdent dans les profondeurs
Et vous êtes pareils, en somme
Car toi aussi tu vis, tu ris...et tu pleures
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Style : Poème | Par lutece | Voir tous ses textes | Visite : 780
Coup de cœur : 11 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : PHIL
jolie parabole, toute en délicatesse, amitiés
pseudo : féfée
même pensée que PHIL. Merveilleux poème ! CDC
pseudo : nani
Le saule pleureur fait parti de mes arbres préférés...Ton poème se lit tout en douceur...
pseudo : BAMBE
Excellent!!! Coup de coeur
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