A cet instant précis
C'est comme si j'avais écrasé le soleil
Comme si la couche d'ozone était à mes pieds
Le coeur , les mots , les déboires à l'arraché
Le souffle , les rêveries , les heures en apesanteur à la défection
Je ressasse encore une fois nos moments d'allégresses
Je revois toujours ton visage
Avec cet air farouche , tant désiré
Ce regard qui me faisait succomber
C'était le temps des primevères , des joies éphémères
Je me replonge sans cesse dans nos souvenirs
Je te vois
Ce sourire en coin , l'espace de tes bras qui m'enveloppent
Le parfum enivrant de tes cheveux sur ma peau
La douceur de tes lèvres posée sur mon cou
Repenser à tout ça m'anéantit
Mais je ne peux y échapper
A l'intérieur
Il y a toujours ce toi
Ce toi qui m'appelait amour
Comme si c'était hier.
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Style : Poème | Par Mathilde-C | Voir tous ses textes | Visite : 532
Coup de cœur : 6 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : PHIL
un sentiment de présence presque palpable
pseudo : Grand-Père
C'est beau d'avoir fait un petit écrin pour tes souvenirs.
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