L’âme solitaire
Au cœur avide
l'esprit latitudinaire
sous l'ombre du vide
Il retrouve son sourire
Quand, les souvenirs
Débordent à sa rive pâle
Et, accueillent en sortant de sa toile
la silhouette splendide de l'étoile
qui éclaire sa nuit fatale
L’ombre de la femme
qui, attisait ces flammes
Hantant
Par l'abondant, le temps
Et, Par l'isolement
et pourtant
l'ombre sans pareil
poussait son soleil
A se lever à minuit
temps ou surgie
son bonheur détruit
temps ou elle se fond avec lui
comme par magie
et pourtant
malgré le temps
sont encore unis
avec harmonie
Il
Dépose une bise
Sur son ombre
elle,
Suppose caresser sa moustache grise
Comme, une cerise
Il
a sa toile il s'y attache
lui offre ses danse de minuit
les pas lourdement se détachent
la main dans la main chaque nuit
Lui,
il rajeunit
il rit
Puis Il sourit
Elle.
Se réjouie
Elle rit
Puis. Elle sourit
Aussi.
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Style : Poème | Par folle7 | Voir tous ses textes | Visite : 452
Coup de cœur : 9 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : quésaco
une belle introspection et une réelle profondeur, le tout superbement rythmé
pseudo : folle7
merci quésaco
pseudo : najah hamid
tres beau poeme sublime
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