Tu me dis mon amour, que tout est relatif,
Que chaque nuance, est une vérité,
Fi des évidences, ta foi est comme l’If,
J’aspire sans détour, à ta sérénité.
Tu t’insurges, mon cœur, de mon acceptation,
Prosaïque ferveur, que tu tiens en horreur,
Craignant qu’au fil du temps, apocryphe menteur
De part l’aveuglement, ne meurt ma raison.
L’attache qui me lie, à ton si bel esprit,
L’exaltation qui nait, par nos joutes du soir
Rien de ce que je vis, Hymen péremptoire,
Ne me contraint jamais, à boire ton avis.
Sois-en sur ma douce, ma belle spartiate,
Je n’abandonne pas, jamais ne te flatte
La relativité, étape rien de plus,
Suit le paradoxe, annonçant l’Absolu.
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par Baal | Voir tous ses textes | Visite : 609
Coup de cœur : 12 / Technique : 11
Commentaires :
pseudo : quésaco
un poème qu'il me faut soumettre à Albert
pseudo : Baal
s'il s'agit de Dupontel, j'vais me prendre un coup de manche de pioche. s'il s'agit d'Einstein, je vais me faire Atomiser...
pseudo : quésaco
Je suis pas vache, ni regardant je te laisse le choix
Nombre de visites : 12216