Certain son bonne d’autre, d’autre le son moins
L’amour, amitié enfermé au creux de ma main
Ce passé au quelle je m’éloigne au plus loin
Que je vois comme l’ennemi de mon destin
J’aimerai l’oublié et ne plus y penser
A cet avenir de brume noir parsemer
Comparable au passé que je doit tué
De mon esprit, je m’oblige a l’annihilé
J’ai apprit de mes nombreuses erreurs
Et plus de celle que je côtoie et qui pleur
De celle que je considère comme ma sœur
Pour elle, il se pourrait que je pleur
Se souvenir je le garde enterré en moi
En elle seul je crois et j’ai la foi
Tel une Venus et une amazone je l’aperçois
Tel une magnifique sirène elle me noie
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par nassur | Voir tous ses textes | Visite : 505
Coup de cœur : 11 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : Karoloth
On ressent de l'émotion mais cela reste assez confus.
pseudo : nassur
la je parle de ma cousine ke je voi + come une soeur el é assé amusante mai parfoi tré enervante
Nombre de visites : 12580