Les sirènes
geignent
Le feu
se répend
le vent
hurlant
s'acharne.
Et tu es
là
Je te vois,
seule,
cheveux éparpillés,
visage durci
là,
dans la tourmente
Seule
éperdue.
Une main ?
mais elle s'évanouit
Un cri ?
au loin
se glace
Silence
De la terre
une odeur.
Brûlée...
Et des larmes
des déchirements
des hurlements
plaintes de nos âmes
esseulées.
Blessées.
Il fait mal.
Novembre 2009
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Style : Poème | Par ficelle | Voir tous ses textes | Visite : 690
Coup de cœur : 12 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : Karoloth
Tiens!? Où était-il passé celui-là.
pseudo : ficelle
comme je disais dans mon autre texte, je voulais effectuer une modif de police et l'ai sup par inadvertance...
pseudo : nani
De nombreux maux font mal, doit-on souffrir en silence, on se le demande bien souvent car on est seule devant la douleur...
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