Seule dans ce grand lit, les yeux rivaient au plafond tel une statue, elle se remémora. Une larme roula sur sa joue, seul signe de sa nostalgie passagère. Tout s’était fini si vite, si brutalement, pourtant elle le savait, elle ne pourrait jamais oublier.
Sa main se posa sur son coup ou reposé ce collier qui signifié tant mais qui aujourd’hui ne devait plus rien représenter. La petite larme qui c’était échoué au creux de son coup fut suivit par ses consœur nettement plus violente. Le Cœur séré, Nina arracha furieusement le bijou et le balança à l’autre bout de la pièce. Qu’elle importance ce dit-elle. Pourquoi faire semblant alors que son cœur meurtrie demandé juste une minutes de répit mais, chaque battement réclamé sa moitié. Elle roula sur le coté pour se retrouver sur le ventre mais dans ce geste, elle déclencha son Ipod resté sur le lit. Une voix masculine inonda la pièce faiblement. Assez fort cependant pour que les oreilles de la jeune blondinette le perçu. Les paroles lui braya le cœur comme si on le lui avait arraché pour le balancer dans un mixer. Ces mots résonna en elle jusqu’à la démence et elle eu beau fermé les yeux très fort cette nuit la, elle ne parviendrai pas à s’endormir.
Ami, prend ma lanterne
Car j'ai perdu ma flamme
Mon amour est parti
Elle a jeté mon âme
A bouffer au néant
Me laissant le cœur vide
Elle a fait des fertiles des averses arides
Et l'horreur du monde n'est rien en comparaison
A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l'union
Pensent oublier un peu qu'on est triste ici bas
Et qu'ici solitude est le dernier repas
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Le vent siffla à ses oreilles, lui procurant un frisson le long du dos. Elle tourna la tête de droite à gauche pour s’assurer qu’il n’y avait personne au alentour. Vide. Tout comme l’était son cœur en ce même instant. Elle posa ses fesses sur l’heure encore humide de la pluie qui n’avait cessé de tomber toute la nuit. Elle regarda la danse de l’eau berçait par ces courant d’aire qui achevait un été qu’elle redouté de voir partir à peine fut-il commencé. Mia fondit en larme sans aucune retenu. Après tous elle n’avait plus rien à perdre maintenant qu’elle avait laissé filer le plus important. Le seul sentiment qui l’animé encore depuis ces dernier mois était l’espoir mais depuis quelques jours elle s’etait rendu à l’évidence : lui aussi c’était fait la belle, la laissant complètement vide. De sa main, elle caressa l’eau trouble et soudain, une irrésistible envie de s’y jeter la submergea. Comme si elle ne contrôler plus vraiment son corps, elle se leva et sans prendre la peine de retirer ses vêtement, elle se laissa tomber dans se liquide glaçait. Elle se pinça fortement le nez, l’eau la recouvrit entièrement et elle se laissa flotter, lasse de ce manque qui l’empêché de vivre. Elle sentit l’oxygène quittait peu à peu ses poumons, ses yeux se fermèrent et la force lui manqua mais, dans un élan de lâcheté pur, elle sortie violemment la tête de l’eau et inspira une grande bouffé d’aire frai à lui faire éclater la cage thoracique. Après quelques minutes à tenter de calmer sa respiration, elle se glissa sur la terre ferme et rampa sur quelque mètre avant de s’étaler de tous son long . Et elle pleura, pleura jusqu’à ne plus en avoir la force.
Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu
Qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit Dieu
Qui font toucher du bout des doigts les horizons
Et toujours à la fin on est seul au milieu...
Des vagues de sanglots et du sel dans la gorge
Et du sel sur la plaie de ce cœur tatoué
A son nom que l'on crie au fond des vers de vin
A se dire que la vie oui n'était qu'une putain
END
Texte en italique : Chanson de Saez : Putain vous m'aurez plus
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Style : Pensée | Par Lexiie | Voir tous ses textes | Visite : 655
Coup de cœur : 10 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : alexian
mon coeur, tu dois encore maîtrisé la langue française, si belle à entendre, qu'elle devient un déchirement ainsi maltraitée, les sons :'ai et é,' seraient à réviser sérieusement pour la bonne compréhension de ton texte et pour le respect des lecteurs , merci pour eux et pour toi.
pseudo : italogreco
bonjour Lexiie est bien venue à toi avec ce texte fort émouvant...un manque d'amour qui nous fais perdre la tête tellement notre coeur souffre....on ne sait plus ou est la raison...si la vie vaut la peine d'être vécue quand cette agonie devient oppressante.....je me suis laissé guider dans cette histoire par une bien jolie plume...continue c'est magnifique.
pseudo : coquelicot
hé hé miss j'adore ta story, désolée je suis toute folle ce soir ^^ devines qui c'est ?x) bon comme diraient les gens d'ici, CDC ^^
pseudo : chaya
Très beau texte, tout le monde peut s'y retrouver. Continue.
pseudo : dees_d_amoure
le premier amour reste le plus beau le plus innocent mais surtout le plus douloureux de tout le premier amoure est le vrais amoure car tout ce qui viens après n'est que des simples copies inoubliable car ça influence nos vie a tout jamais
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