L’énergie d’un sentiment exprimé par l’encre et la plume.
En tant qu’intellectuel et éducateur, il est de mon devoir de lever ma plume au nom de cet être qui n’a jamais cesser de me protéger par son cœur et son âme.
C’est après quarante-six ans, que la plume n’a pas voulu
me décevoir, et m’a aidé à exprimer le sentiment qui s’est développé en moi par la fréquence de l’emprunte de cette contribution maternelle, inscrite dans toute mes activités scientifiques et morales.
Je n’ai ni le temps, ni le matériel pour payer cette lourde dette, qui demeure à mon égard impayée jusqu’à l’infini, et c’est par le grand pardon et la bénédiction que j’appelle ma mère dans ses prières de l’aube et l’aurore à implorer l’immortel et le clément à accepter mon double pardon, divin et maternel.
ô mère je réclame ton pardon par ta bénédiction
Je réclame la grandeur et la pureté de ton âme qui n’a jamais cesser de me protéger.
Je réclame davantage ton affection, pour guérir les impacts provoqués par l’absence de cette énergie sentimentale, dissipée dans l’alimentation de ma petite cellule familiale, et l’anéantissement de cette agression du comportement néfaste de la matière.
ô mère, je m’incline devant le créateur de l’inexplicable
je m’incline devant cette force créatrice de cette énergie sentimentale, qui demeure échapper au quantifiable et à l’équation abstraite.
Je m’incline devant l’enseignement de cette éducation morale, émanant d’un illettrisme vaincu par la pensée affective qui communique directement avec l’âme.
ô mère, si mon style d’exprimer ma pensée sentimentale est dominé par cette fréquence de mots, qui cherchent à dimensionner le sentiment, c’est parce que, j’ai succombé au sentiment du charme de cette connaissance scientifique qui s’est installé en moi, par la voix ininterrompue de l’information cérébrale.
ô mère, j’implore Dieu pour qu’il préserve ton âme qui m’a toujours procuré ce climat de sécurité, et affecté ma pensée par la sagesse, la pudeur, la tendresse, la générosité, et la tolérance.
ô mère, toi qui n’as jamais cesser de m’inoculer l’énergie de cet espoir infini, diffuseur de cette diversité de satisfaction, résultante de l’appréciation, et la contemplation de cette force invincible et invisible, qui procure à cette âme convaincue, le bonheur ici bas, et l’accueil éternel, couronné par le grand pardon de l’au-delà.
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Style : Poème | Par rachid sadek bouziane | Voir tous ses textes | Visite : 310
Coup de cœur : 9 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : Chrysalis
C'est... religieux.
pseudo : Karoloth
Ô mère, sauve-moi des gens qui croient...
pseudo : BAMBE
J'aime cette façon de remercier la Vie de ses mystères et de nos incompréhensions.Coup de Coeur
pseudo : rachid sadek bouziane
Toute pensée sans référence converge vers l'inconnu et l'indéterminisme. Le repére est indispensable Pour quantifier la réflexion par la dimention afin de conquérir le déterminisme.
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