Depuis que tu m’as laissé, je croirais que le temps à cesser d’avancer. Les journées passent avec une lenteur exaspérante et les nuits, autrefois méprisées, sont d’dorénavant mes moments préférés. J’appréhende dorénavant le moment où l’on me retire des bras de Morphée. Car ce n’est que là que j’échappe à ce monde injuste et sans scrupule dans lequel nous vivons. Ce n’est que là que je réussis à me perdre pleinement dans de douces pensées aux couleurs estivales qui portent tes inoubliables effluves. J’aimerais te dire à quel point la perte de notre amitié m’est difficile et déchirante. J’aimerais te dire que tu étais mon confident, et qu’à présent, plus personne n’est là pour m’écouter me confier lorsque mon cœur ne veut que pleurer. J’aimerais te dire à quel point tes douces caresses me manquent… J’aimerais te dire que sans toi, la vie n’a plus les mêmes saveurs. Que sans toi, la vie perd de ses joyeuses couleurs pour se transforme en de mornes paysages. Bref, que sans toi, la vie n’est plus la même...
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Pensée | Par myriam.gt | Voir tous ses textes | Visite : 610
Coup de cœur : 7 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : nage
Dure dure de perdre une amitier.
pseudo : nan
A 15 ans n'est-ce pas exagéré de ruminer de telles pensées !!! si tu baisses les bras maintenant quand sera t-il dans quelques années !!!allez hop un m--- et on repart...
Nombre de visites : 1992