Coulez mes larmes, jaillissez de vos sources
Banni à jamais, laissez moi m’affliger.
Laissez moi vivre, délaissé,
Là ou le noir oiseau de la nuit chante sa triste infamie.
Eteignez-vous, vaines lumières, cessez de briller.
Nulle nuit n’est assez noire
Pour les désespérés pleurant leur fortune perdue.
La lumière ne révèle que honte.
Que soient mes tourments allégés
Puisque la pitié à fui,
Que larmes, soupirs et gémissements
Ont de toutes joies mes tristes jours dépouillés.
Ecoutez, vous les ombres qui habitez les ténèbres :
Apprenez à mépriser la lumières.
Heureux, heureux ceux qui en Enfers,
Ignorent la hargne du monde…
Strophe 2
Des chants triste paysan
(Extrait de mon roman d'héroic-fantasy que personne n'a encore lu.....)
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Style : Poème | Par markkus76 | Voir tous ses textes | Visite : 914
Coup de cœur : 13 / Technique : 14
Commentaires :
pseudo : BAMBE
Si sombres pièces jaunes! J'aime. Coup de coeur.
pseudo : nani
le noir, le désespoir, les ténèbres le fascinant monde des ombres...j'adooorrree ......
pseudo : Iloa
C'est violent. C'est un beau poème, bravo.
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