A JAMAIS DEUX

On partageait la confiance

D'etre un jour reuni

De raccourcir les distances

Qui nous semblaient infini

On voulait savoir

Toucher au travers du miroire

S'échanger nos secrets

Pour les garder à jamais

Explorer chaques décor

Y découvrir des îles

S'amarer aux ports

Ou les vagues sont docile

Mais il y a ce temps qui passe

Et cette absence qui prend place

Je sens que l’on s’éloigne

Les doutes vont laisser place au larmes

De tes rêves à mes rêves

De ton cœur à tes mains

Je n'ais eu de trève

De rever nos "demains"

De mes rêves à tes rêves

De tes mains à mes yeux

Je n'ais eu de trève

De croire en nous deux

Peut-on vraiment se contenter

De photos, de patienter

Assis deriere nos ecrans

Quant au dedans gronde un volcan

J'attends tes signeau

Et t'envois mes S.O.S

De la plus haute tour d'un chateau

Enflamé par nos promesses

Je veux que tu capitule

Que tu me touche enfin

Que les masques de papier brulent

Ne plus ressentir ce besoin

Mais il y a ce temps qui casse

Et l'ignorance y fait sa place

Je sais que l’on s’éloigne

Notre drame à laisser place aux flames

De tes rêves à mes rêves

De ton cœur à tes mains

Je n'ais eu de trève

De rever nos "demains"

De mes rêves à tes rêves

De tes mains à mes yeux

Je n'ais eu de trève

De croire en nous deux

Je ne peux croire en toi

Et m’imaginer

Que tu es là mais loin de moi

Quant on a tant à se donner

Je ne veux plus y croire

On a abendoné

J'ais deja perdu tout espoire

Il ne reste rien à sauver

Que des reves...

Que des reves...

Que des reves...

Que des reves...

Et il y a ce temps qui trace

Sa route contourne les impasses

Nous éloignes de nous deux

Mais je me rapelerai nos reves

Je me rapelerai nos reves

Je me rapelerai nos reves

Je me rapelerai nos reves

De mes rêves à tes rêves

De tes mains à mes yeux

De ton coeur à mes lêvres

Je me rapelerai nos reves