Je rêvais d'un ciel bleu que plus aucun nuage
Ne viendrait perturber de sa triste noirceur,
D'un soleil que, jamais, ni le vent, ni l'orage,
Ne vaincraient les rayons, n'atténueraient l'ardeur.
J'imaginais pouvoir, dans l'amour, la tendresse,
Vivre indéfiniment ces instants merveilleux
Qui font tout oublier pour connaître l'ivresse
des moments de bonheur que l'on partage à deux.
Hélas! comment prévoir le destin qui vous guette?
Comment se prémunir d'un orage soudain
Qui, dans un coeur meurtri, se transforme en tempête,
En torrent de douleur du jour au lendemain.
Puis, comme au ciel obscur le vent chasse un nuage,
Le temps tout doucement souffle un air de fraîcheur
Dissipant le brouillard qui nous cachait l'image
De ce qui fut pour nous le temps de la douceur.
Même si la lueur reste encore légère,
Si le ciel n'offre pas la couleur de l'azur,
Lorsque l'espoir revient, c'est qu'enfin la lumière,
Des moments douloureux, viendra briser le mur.
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Style : Poème | Par COELLO pierre | Voir tous ses textes | Visite : 970
Coup de cœur : 9 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : scribio
On sit toujours : aprés la pluie, le beau temps....un poème plein d'espoir Coello Pierre.
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