Meggy, grande pretresse de la gaieté,
Vous êtes l'abbé de cette paroisse qu'on appelle bonté,
Une fleur fraîchement ceuillie, un parfum extrêmement rafiné,
J'avancerais que vous êtes le symbôle de l'équité,
L'alliance parfaite entre gravité et légèreté,
Un souffle de vent spontané et pourtant maîtrisé,
Une mine d'or inépuisable, un doux murmure qu'on sussure,
Une furie qu'on accable, mais une si belle couverture !
Alors, objectivement, certes, vous n'êtes pas parfaite,
Seulement, la concorde arrive, se décide trouble-fête,
Et j'affirme que l'on ne peut vous juger, étant abstraite
Ce ne sont pas là un jeu ainsi que de vulgaires courbettes,
Mais plutôt un réel signe d'affection, que je l'admette !
Aujourd'hui est un jour particulier, un jour de fête,
Le Trente Septembre, fossé entre hier et demain,
Célébration d' un passage qui vous est joint.
Seize années ont passé, la maturité a semble-t-il germé,
Et dans moins de deux années, ce sera la liberté.
Alors sachez profiter de l'instant présent :
Dans sa vie on n'a qu'une seule fois seize ans.
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Style : Poème | Par Valdel | Voir tous ses textes | Visite : 618
Coup de cœur : 10 / Technique : 5
Commentaires :
pseudo : BAMBE
Très doux, très beau un bien bel hommage à la jeunesse de Meggy. Coup de cOeur
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