D'où nous viens cette conception de la femme idéale?
Nous apprenons par notre déduction du vécu d'autrui qu'il est important d'éviter groupies, femme d'un soir ou encore femme superficielle, par sécurité ou par envie d'avenir.
Nous prenons compte de son passé, de ses décisions, des déductions qu'elle a faite de sa vie,
et après examen complet, avoir pesé le pour et le contre nous nous lançons.
Nous déduisons sa compatibilité avec nous, sa faculté a fondé une famille a être fidèle, aimante, compréhensible. Nous cherchons donc a savoir si elle pourrais être une partenaire d'une vie, celle qui vous accompagne quelle que soit vos choix, vos envies, ou vos erreurs.
La femme idéale est donc une denrée très rares, surtout si on plus de tout cela elle doit être intelligente...
Nous vivons malheureusement dans une époque où on prône l'égalité des sexes, pas que ce soit une mauvaise chose, mais ce qui diminue encore grandement les chances de trouver la femme idéale.
Je m'explique, l'environnement dans lequel nous vivons, notre situation dans la société influe grandement nos caractères hormonaux qui eux influe sur notre personnalité.
Depuis plus de 40 ans la femme se rapproche de l'homme en terme de statu social et son taux de testostérone depuis lors ne cesse lui d'augmenter, l'invention qu'a été la contraception a permis a celle-ci de ne plus penser à la procréation mais au plaisir et de ce fait d'adopter un comportement typiquement masculin .
L'homme quant a lui en ce demi siècle inévitablement c'est rapproché de la femme, comme on aurai pu le prévoir son taux de testostérone, l'hormone masculine par excellence a nettement diminué.
On peut supposé que l'augmentation de l'homosexualité est l'une des conséquences de cette égalisation des sexes, cette déviance sexuel a notre époque paraît presque normal alors qu'il y a à peine dix ans cela paraissait comme blasphématoire, une preuve de notre ouverture d'esprit, je ne pense pas, c'est le simple produit de la tournure que prend notre société.
Pas que ce soit une mauvaise chose, l'homosexualité n'est pas un choix, c'est une vie dictée, et elle reste malgré tout la solution la plus réaliste à la surpopulation mondiale.