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Sur la terre comme sur les plages Des moments simultanément passés Des souvenirs communément partagés N’ont été pour moi que prestiges
Faut-il, muse, que je te dise Que t’es l’étoile illuminant mon cœur Que t’es la silhouette déesse du bonheur Pour amplifier ma cour couardise
Des jours jovialement achevés Des nuits affectueusement échues Des malheurs et des bonheurs connus Tout n’est que pure réalité et vérité
Dans la douceur, je t’ai connue Que de fierté j’admire l’héritage De l’amour qui m’a pris en otage Et des « on dit » que j’ai vaincu
Que d’amour j’ai dans le cœur A t’aimer tous les jours à la folie A t’admirer plus qu’une simple amie Et à consommer jovialement ta douceur
Tout près de toi, je suis aveugle Des amourettes aventurières décidées A pérenniser l’irresponsabilité Et à sauvegarder le trouble
Je t’aime et je te le dis encore Je t’aime et je le cris très fort Je t’aime et tu m’es comme de l’or Je t’aime et c’est jusqu’à la mort
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Style : Poème | Par klenche | Voir tous ses textes | Visite : 552
Coup de cœur : 8 / Technique : 6
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