Inonder les montagnes de douces paroles
N’avait pas suffi à te prouver mon amour
M’évader des sentiments obscurs des geôles
Avait rendu ton cœur indifférent et sourd
Aujourd’hui, le regard parlant nous unit
Que de baisers de Venus, tu me combles
Pour le meilleurs et le pire nous sommes ensemble
A caresser mutuellement les rouages de la vie
Seule, je me trouvais prisonniers des buissons
Arrosant les feuilles des larmes d’un solitaire
J’eu à te dédier, au bout de mes lèvres, une chanson
Tout ce qui me restait après ton « non » arbitraire
Au commencement était l’homme et la femme
Aujourd’hui l’homme n’est plus au désert
A vociférer tous les jours les paroles en l’air
Que du bonheur de voir qu’on s’aime
Avec toi la solitude est dans les chimères
Avec toi l’inquiétude est éphémère
Avec toi, que des lendemains caressants
Avec toi, que de l’amour fluorescent
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Style : Poème | Par klenche | Voir tous ses textes | Visite : 592
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