Si le poète de cour t’appelle « mignonne »
C’est avec béatitude que je m’amuse
A te couvrir le manteau de sacrée muse
Signe indéniable de l’amour qui rayonne
Si content et fier, paupière sillée
Par une rose qui me tient en servage
Et larmes luisantes pour lui rendre hommage
Devant sa silhouette, je viens en chevalier
Dulcinée qui a rendu mon cœur courtois
Depuis qu’il t’a pointé du doigt
Et tu as accepté de répondre à son désir fidèle
C’est dans ton cœur que je séjourne
Dans la douce chaleur, tu m’enfermes
Pour vivre l’amour que tu étincelles
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Style : Poème | Par klenche | Voir tous ses textes | Visite : 527
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