Une lame glisse sur la peau blanche
Une goutte de sang pourpre coule
Un corps qui tremble enfin se penche
Et toute ma vie s’écroule
Je me vide tout doucement
De cette sève qui ne nourrit plu s
Mon corps et mon esprit d’enfant
Que tu n’aimais pas non plus
Je m’en vais dans cette aube blanche
Vers cet ailleurs où m’aimeront
Toutes les fées et tous les anges
Quand ils me reconnaîtront.
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Style : Poème | Par tevenn de kerscao | Voir tous ses textes | Visite : 705
Coup de cœur : 10 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : justine Mérieau
Notre poète a les idées sombres dans l'ensemble... Mais il faut reconnaître que ça lui réussit ! Toujours cette même rythmique qu'on retrouve, qui rend agréable à lire le texte. Un beau poème, sentimental et romantique.
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