Quand je me promenais dans le jardin d’enfer
J’ai cueilli la plus belle des roses de cancer
L’ai portée à mes lèvres pour humer sa saveur
Mais ses épines rouillées m’ont transpercé le cœur
Son venin se disperse à présent dans mon sang
Qui coule goutte à goutte sur mon visage blanc.
Cette rivière d’eau rouge prend sa source en mon œil
Et mon âme s’envole, ma famille est en deuil.
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Style : Poème | Par tevenn de kerscao | Voir tous ses textes | Visite : 895
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