Heureux ? Malheureux ? Colérique ? Joyeux ? Tout le monde ce pose cette question, aussi débile soit elle, qui n’a pas envie d’être a 1100% heureux, se sentir vivant le cœur léger pleins d’espoirs et de rêves ou voyons nous cela que dans les films et séries américaine ou il n’y a qu’un seul happy end réservé uniquement à eux pour eux est rien qu’à eux .

J’écris à partir d’aujourd’hui pour dire que non il n’ont pas ce droit il n’y a pas de place réservé , prendre le taureau par les cornes comme on dit! faire absolument le contraire de ce que la vie attend de nous voila mon but. Pas prédestiné à finir comme cela je m’obstine pourtant , nageant en sens contraire tel un poisson pas dans la bonne rivière trop petite pour lui, insignifiante même.

Personne ne ressent sa ? quoi à peine 6 milliards d’habitants et personnes ne veut nager à contre courant ci fort pourtant qu’il fut trop facile de le suivre. Certains on du je pense, se jeter dans l’inconnu cela doit être flippant, terrifiant je pense, sauter le pas, ce pas qui nous mènerait a l’inconnu dans le noir. Vais-je un jour le faire moi-même ? Tenter ce que bon nombres de personnes s’obstine à ne pas faire par peur de quitter ce confort si douillet et réconfortant. On nous met dans des cases sans qu’elle vous corresponde, ne ce juxtaposant pas avec nous, on n’est à l’écart privé des siens, embrumée par la peur qu’est cette case sans qu’on vous tienne la main, qui a pu ressentir cela une fois dans sa vie.

Moi mon dieu me la fait vivre en retournant la plaie qu’ont été mes erreurs passé, je le regrette comme le regretterait un homme sur la chaise à deux doigts d’être électrocuté pour le meurtre sauvage d’individus.

L’envie de crier, courir, respirer, disparaitre, hurler, laissé allez juste ses besoins primaires juste cela, arrêter de penser le temps que cette tempête noir, épaisse grondant dans votre poitrine ne cesse à jamais et vous laisse en paix.

Aujourd’hui je fais ce pas, ce dernier petit pas pour que cette tempête disparaisse et tente de quitter cette case qui désagréable au début fut si chaude et confortable jusqu’à peu.

Aujourd’hui je pars a l’aventure de ma vie, faites comme moi .

Ashimoto San