Une vie s’est achevée, dont j’ai fais le deuil
Une autre commence vers des merveilles,
Je me rappelle de mes pleurs, de ma tristesse
Avant c’était le linceul
Seul cadeau mes enfants, mes soleils
Enfin, je ne retiens que la détresse
L’habitude, nous avait fait rester ensembles !
Si, on dit que le temps est un pansement
Sur les plaies, je le constate, maintenant
Adieu !! toi l’ étranger, tu refais ta vie après m’avoir abandonné
J’ai enfin accepté, jamais je ne pourrais oublier
Les souffrances, mais il faut laisser le passé
Où il est, je fais place à des moments merveilleux
Qui m’entraine vers d’autres cieux
Près d'eux,
Je connais d’autres feux
Je ne ressens plus aucune détresse
J'aspire à la délicatesse, la tendresse
Temps qui passe, jours lointains, banale détresse
Laissons entrer le soleil, le rire, l’allégresse
Ne plus avoir vers l’homme aucune faiblesse
Loin sans faux, je ne suis pas une diablesse
Je ris de bon cœur, tendre je me laisse
Rêver à la planète et toutes ses richesses
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Style : Poème | Par etoilefilante | Voir tous ses textes | Visite : 717
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Commentaires :
pseudo : Karoloth
Oui, un jour, il faut bien tourner la page et c'est tant mieux.
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