Je marche seule
Dans les rues tristes de Brest
Et la pâleur grise du ciel
Me rappelle inlassablement
Que mon cœur est en deuil.
Je n’attends plus qu’un signe
Pour comprendre enfin mon amour impossible
Pour cet être si étrange et si beau.
Je glisse sans cesse
Vers l’abyme profonde
Des ténèbres.
Si je ne touche pas encore à la froideur
De la mort
C’est grâce aux chaînes de lin
Qui me retiennent à la vie
Elles sont si fragiles
Je suis si fragile.
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Style : Poème | Par tevenn de kerscao | Voir tous ses textes | Visite : 739
Coup de cœur : 10 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : NAJAH HAMID
une fragilité et une solitude rare qui tiens a la vie solidement...il y aune tristesse profonde et humaine et il y a un très beau espoir j ai aime le poème. merci du fin fond de mon âme ..Que mon cœur est en deuil. Je n’attends plus qu’un signe Pour comprendre enfin mon amour impossible Pour cet être si étrange et si beau. tres tres beau. et tres imagées . merci
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