j'ai empoigné cette arme,
là brandissant farouchement,
sans nul doute de ta fuite,
j'ai pousuivie mon acharnement.
fustigeant d'un revers,
ta main sur mon coeur,
d'un pas chancelant sans maniére,
j'ai vue jaillire cette fureure.
n'exprimant aucun remort,
j'ai sacager les heures,
imposant sans vergogne mes tords,
j'écouter tes paroles avec stupeur.
divaguant dans l'espoir,
je m'essayer à chaque serrures,
pendue à des réves illusoirs,
Abandoner à l'usure...
montant les marches de l'échaffaut,
j'ete la victime , le boureaux,
menoter par les "quand dira t-on",
guillotiner par mes anicenes actions.
Poison, Enduit de culpabilité
refusant d'admettre, de conprendre, de toléré,
condamné à juste titre d'aimer,
j'ai fini d'exploser, à regret notre amitier
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Style : Poème | Par Audessus-des-nuages | Voir tous ses textes | Visite : 618
Coup de cœur : 11 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : arshesti
S'il on efface les fautes d'orthographe et de conjugaison, je trouve que c'est un beau poème assez fort!
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