Certain son bonne d’autre, d’autre le son moins
L’amour, amitié enfermé au creux de ma main
Ce passé au quelle je m’éloigne au plus loin
Que je vois comme l’ennemi de mon destin
J’aimerai l’oublié et ne plus y penser
A cet avenir de brume noir parsemer
Comparable au passé que je doit tué
De mon esprit, je m’oblige a l’annihilé
J’ai apprit de mes nombreuses erreurs
Et plus de celle que je côtoie et qui pleur
De celle que je considère comme ma sœur
Pour elle, il se pourrait que je pleur
Se souvenir je le garde enterré en moi
En elle seul je crois et j’ai la foi
Tel une Venus et une amazone je l’aperçois
Tel une magnifique sirène elle me noie
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Style : Poème | Par nassur | Voir tous ses textes | Visite : 794
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